OCML-VP :
Un tremblement de terre au Japon, un tsunami, une centrale nucléaire dévastée qui libère sa radioactivité. L’économie japonaise paralysée et une bonne partie de l’industrie automobile mondiale touchée par la destruction d’usines de leurs sous-traitants japonais.
Faillite financière d’Etats comme le Portugal, qui menace toujours le système financier mondial, comme les banques françaises. La crise du capitalisme en Europe comme ailleurs ne fait que commencer et les travailleurs n’ont pas fini d’être attaqués dans leurs conditions de vie et de travail.
Guerre économique, concurrence accrue pour l’accès aux ressources stratégiques entre puissances impérialistes : en Libye, en Côte d’Ivoire, en Afghanistan. L’Armée française est en guerre en Côte d’Ivoire et en Libye, sans oublier les 4000 soldats en Afghanistan.
Crise et guerres, au prétexte hypocrite des « droits de l’Homme et des peuples ». Mais les droits des hommes et des femmes qui fuient la misère et les guerres s’arrêtent aux frontières de l’Europe et de la France. Ils sont pourchassés comme des criminels.
Pas plus que le nuage de Tchernobyl ne s’est arrêté en 1986, aux frontières de la France, celui de la centrale de Fukishima Daiichi, ou d’une autre ne s’y arrêtera.
Les frontières ne sont pas plus efficaces contre la crise que contre la radioactivité. Que peuvent-elles contre la menace de faillites en cascade d’Etats super endettés et des banques qui leur ont prêté ? Ils ne sont « sauvés » que par des nouveaux prêts donc de nouvelles dettes. L’économie capitaliste est mondialisée.
Que peuvent les frontières contre la circulation des capitaux et les délocalisations, à la recherche de travailleurs plus faciles à exploiter, tant que le pouvoir économique et politique appartient aux capitalistes ?
Pourtant les partis de la bourgeoisie, de droite comme de gauche, cherchent à ancrer dans nos têtes que la solution serait nationale...Le FN avec la préférence nationale ne fait que récolter ce que d’autres ont semé : le « produisons français », la « fermeture des frontières » ou « l’immigration choisie », « l’identité nationale menacée ». Il faudrait selon eux renforcer les frontières, pour nous protéger, ... contre qui ? Non pas contre les capitalistes,... mais contre d’autres exploités, d’autres victimes de l’exploitation et de capitalisme. Alors que ce n’est pas l’étranger qui est le problème mais le capitalisme !
Les bourgeois organisent la division et la concurrence entre les exploités alors qu’ils savent, même concurrents, eux, s’unir contre nous, contre les prolétaires, pour maintenir à flot leur système qui a fait son temps. Alors que les bouleversements en cours dans les pays arabes peuvent être un exemple et un espoir pour tous les exploités, les bourgeois en font une menace « d’invasion de la misère du monde ».
Les capitalistes qui organisent le défense de leur intérêts au niveau mondial, dont les capitaux et les marchandises, circulent sur toute la planète, poussent les travailleurs à ne penser et agir qu’au niveau local. Ils nous enferment dans des frontières, pour nous diviser et mieux nous dominer.
Il faut lutter et résister ici, comme Toyota Valenciennes, Carrefour et bien d’autres. Il y a aussi les révolutions arabes. Ne les minimisons pas, comme le font les médias bourgeois, en disant que la situation de ces pays — la Tunisie, l’Egypte — était différente de la nôtre, et qu’au fond ils veulent être comme nous, démocratiques. Leurs premières revendications sont : du travail, et non à la vie chère. Ils montrent la voie à suivre, la méthode qui fait que ce qui paraissait un rêve la veille devient tout-à-coup possible. Ce qui manque à tous ces combats ce sont des perspectives et une organisation.
Les perspectives, elles existent aujourd’hui, sans attendre un programme communiste détaillé, ce sont des idées claires pour lesquelles nous devons combattre et convaincre nos camarades de luttes.
• Nous ne résoudrons pas les problèmes d’emploi, de délocalisations dans le cadre du capitalisme. La perspective, c’est le remplacement de la propriété privée des moyens de production par une propriété collective, de la concurrence capitaliste par la coopération socialiste, et du pouvoir d’Etat bourgeois par celui des comités de travailleurs.
• Il faut « aux destructions et au pillage dans les pays dominés, opposer l’égalité des nations. Reconnaître la responsabilité de l’impérialisme dans l’inégalité du développement et la nécessité de la compenser. A la division, au racisme et au chauvinisme, opposer l’unité internationale des exploités dans le combat contre le camp international des bourgeois... » (plate-forme politique de Voie Prolétarienne.)
• Le nationalisme, toutes les formes de préférence nationale, sont des instruments de division et d’affaiblissement des travailleurs du monde. Nous ne vaincrons qu’unis par delà les frontières.
Il faut des perspectives aux exploités du monde, mais aussi des organisations, pour propager ces idées claires et construire les solidarités.
• Des partis communistes locaux, mais aussi une organisation internationale de combat : une Internationale Communiste. Sans attendre celle-ci nous pratiquons la solidarité Internationaliste, avec les ouvriers du monde, avec les peuples exclus de leurs droits nationaux comme les Palestiniens.
• Nos organisations et nos solidarités se construisent dès maintenant, dans la lutte pour l’arrêt immédiat des interventions militaires et le retrait des troupes françaises, pour le transfert aux pays dominés des avoirs impérialistes, d’Areva au Niger, de Total en Algérie et en Birmanie, les chantiers de Bouygues et de Véolia, les hypermarchés de Carrefour, etc, etc. Elles se construisent dans la lutte pour la libre circulation des travailleurs et la régularisation de tous les sans-papiers.
Camarades, pour avoir une idée claire de ce qu’il faut faire aujourd’hui, de ce qu’il faut faire quand la révolte éclate, et de la voie à suivre après la victoire, militons d’une manière organisée, travaillons à créer NOTRE parti des exploités ! Luttons, additionnons nos expériences nationales et internationales, étudions ensemble pour dégager de nouvelles perspectives. _ Car le programme communiste ne pèsera dans la balance de l’histoire que par les hommes et les femmes qui le porteront ensemble. _ • « Défense de la France » ou internationalisme ouvrier, il faut choisir !
• Côte d’Ivoire, Libye, Afghanistan : Non à l’intervention impérialiste !
• Libre circulation des travailleurs et la régularisation de tous les sans-papiers.
Les capitaux et les marchandises circulent librement ! Un exemple : l’iPhone de Apple, fabriqué en Chine. Seulement 3,6% de la valeur est d’origine chinoise (puisqu’il s’agit uniquement de l’assemblage), mais 6% des USA, 34% des entreprises japonaises, 17% des allemandes, 13% des sud- coréennes etc. Tout cela pour un produit estampillé "Made in China"... Comment apprécier le caractère "national" de cette production ?
MOBILISATION CONTRE LA POLITIQUE DE CASSE SOCIALE
ET LES GUERRES IMPERIALISTES !
LE PREMIER MAI, les travailleurs et les masses populaires descendent en même temps dans la rue pour lutter contre le capitalisme, l’impérialisme et le néocolonialisme. En Europe et en Amérique du nord, en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient et en Afrique, c’est la même révolte qui s’exprime contre l’exploitation et l’oppression. C’est le moment où la phrase de Marx « Les prolétaires n’ont pas de patrie » prend tout son sens et où le prolétariat montre qu’il est international. A cette occasion, les prolétaires des pays impérialistes expriment leur solidarité avec les peuples et les nations dominés par leur propre bourgeoisie car leurs luttes constituent un puissant soutien à leur propre combat.
Ce 1er mai 2011 est marqué par un contexte de crise économique grandissante et d'agressions impérialistes de plus en plus violentes comme en Côte d’Ivoire et en Libye.
Alors que la bourgeoisie par toutes ses voix, tente de dévier l'attention des masses en la focalisant sur l'insécurité, l'islam et la laïcité dans des intentions racistes, la crise n'est pas finie et frappe encore la classe ouvrière et les masses populaires.
Tout le monde constate que les salaires ne suffisent plus à affronter le coût de la vie. Ceux-ci stagnent voir baissent pendant que les prix des marchandises, des logements, du carburant, des transports, de l'énergie, des impôts (sauf pour les pauvres nécessiteux assujettis à l'Impôt Sur la Fortune) augmentent parfois fortement. Le chômage est toujours à la hausse, et ce malgré les effets d'annonces liés aux radiations massives de Pole Emploi.
D'où vient cette crise?
La crise n'est pas prête de s'arrêter: elle est la conséquence du capitalisme.
Ce système que nous subissons se caractérise par l'exploitation de classe ouvrière pour l'extorsion de plus values capitalisées. Mais pas seulement. Il se caractérise aussi par des limites objectives qui rendent ce système incapable d'organiser l'activité économique d'une façon harmonieuse: les capitalistes sont en concurrence les uns les autres (et cela ne peut être autrement) sur les marchés ce qui crée une production anarchique qui ne répond pas aux besoins; les capitalistes ont besoin de rogner les salaires pour faire plus de profit et en même temps ils ont besoin de vendre leur production. Les masses paupérisées ne peuvent acheter à la hauteur de la production, s'en suit une surproduction, accumulation de stocks, faillites, chômage, etc.
La baisse du taux de profit accentue la rapacité naturelle des capitalistes et les pousse à une fuite toujours plus en avant dans les agressions de pays étrangers et dans l'exploitation accrue des ouvriers.
Sans rompre avec le système capitaliste il n'est pas possible de rompre avec ces contradictions et ses conséquences. Les politiques « anti-crise » mises en place par les gouvernements de droite et de gauche partout en Europe, ne sont que des moyens de tromper les masses, en leur faisant payer les conséquences de la crise.
Les agressions impérialistes sont des tentatives de résoudre cette crise. Elles correspondent à des plans politico-militaires mis en oeuvre dans le but de contrôler des territoires, les matières premières, les marchés, en surexploitant les ouvriers et les paysans de ces pays et en se livrant une rivalité sans merci avec les autres puissances impérialistes. Ce sont ces enjeux qui sont au coeur des buts poursuivis par l'impérialisme français en Libye et en Côte d'Ivoire en ce moment même. Pour justifier ces guerres de rapine, tout prétexte est bon à utiliser. On a droit en général au prétexte humanitaire. Ici il s'agit du prétexte démocratique « contre des dictateurs ». Les pays impérialistes, la France en tête sont pourtant les champions de l'installation et du soutien de dictateurs pantins à leurs ordres. Le voleur et dictateur Ben Ali a été soutenu jusqu'au bout par l'Etat français.
Pour tenter de résorber la crise, c'est à dire en faire payer les conséquences par les masses populaires et les peuples, pour sauver les profits des grands capitalistes, outre les guerres impérialistes, il y a aussi les politiques nationales menées dans nos pays. Elles consistent à écraser les salaires (par l’intensification du travail, sa précarisation et la flexibilité) et la part indirecte du salaire redistribuée ( pensions de retraites, allocations chômage, sécurité sociale, etc…).
Et tout ça pour quoi? Pour que se perpétue le capitalisme: pour qu'une minorité d'exploiteurs continuent d'accumuler les richesses produites par la majorité de la population.
Dans ce contexte, certains sont tentés d'attendre les élections de 2012 avec l'espoir qu'un gouvernement de gauche changerait la situation.
Nous n'avons rien à espérer de l'alternance en 2012. Dans le fond la social-démocratie ne se distingue pas de ses concurrents de droite et, s'il parvient au pouvoir en 2012, le PS appliquera sous une forme ou sous une autre les plans de rigueur fixés par le FMI et la bourse de Paris.
Aucun parti bourgeois (PS, UMP, FN, etc.) ne remettra jamais en cause le système qui fait la domination de cette classe. Le rôle politique de chacun de ces partis est de prendre la suite du précédent après que ce dernier ait fait faillite et de servir les intérêts de la même classe, avec pour le FN un double rôle : déverser le poison raciste et réactionnaire dans les masses populaires pour les diviser et les affaiblir ainsi (notons que pour ce rôle là, le FN n'a pas le monopole!), et servir d'épouvantail pour approvisionner en voix les deux autres partis.
Les autres partis plus ou moins radicaux à gauche (Front de gauche, NPA, etc.) servent objectivement de rabatteurs à la social-démocratie et ne peuvent constituer une véritable alternative révolutionnaire.
Depuis plus de trente ans le mouvement ouvrier ne parvient pas à arrêter la politique réactionnaire antisociale des gouvernements bourgeois successifs de droite ou de gauche. L’échec du grand mouvement contre la réforme des retraites en est le dernier exemple. Est-ce à dire que la victoire est impossible ? NON : la classe ouvrière et l’ensemble des travailleurs et des couches populaires ont les forces pour vaincre. Ce sont ceux qui les dirigent, qui les conduisent sur le chemin de l’échec ! Face à l'offensive de la bourgeoisie, offensive nécessitée par la crise du système impérialiste mondial, il n'y a en effet ni véritable parti communiste ni confédération syndicale de classe, pour opposer une stratégie offensive capable de bousculer et de déstabiliser les forces de la bourgeoisie.
Elle est là, la cause qui fait la force actuelle de la bourgeoisie et de son pouvoir politique
Allons-nous continuer à leur faciliter la tâche? Non, c'est pourquoi les communistes que nous sommes travaillons à la construction d'un parti communiste, armé de la théorie marxiste-léniniste permettant d'organiser les masses prolétariennes sur la base de leurs intérêts historiques. C’est pourquoi aussi nous militons avec nos camarades de travail et dans nos organisations syndicales pour redonner à nos luttes les moyens de vaincre les forces du capital.
Le ROC ML et son organisation de jeunesse, la JCML, portent ces objectifs et en font leur ordre du jour concret. Ils vous appellent à rejoindre leurs rangs pour mener ce combat.
Vive la lutte internationale contre le capital!
Vive le communisme!
Dénonçons l'impérialisme français!
Construisons en France le parti communiste marxiste-léniniste!
La JCML proprement dite :
POUR UN PREMIER MAI DE LUTTE DE CLASSE !! |
COLLEGIENS, LYCEENS, ETUDIANTS
Le capitalisme par le biais de l'Éducation Nationale vous prépare à accepter votre future condition de travailleur pleine de frustration, de soumission et d’ignorance.
STAGIAIRES ET APPRENTIS
Le capitalisme par le biais d’une myriade d’institutions complices permet aux patrons, sous prétexte de vous former, de s’enrichir sur votre dos de manière encore plus scandaleuse qu’un travailleur salarié.
CHOMEURS
Le capitalisme par le biais de son outil hypocrite d’apaisement social qu’est POLE EMPLOI, vous ment. Votre condition de chômeur est nécessaire au « bon » fonctionnement du système. Le chômage permet de faire pression sur tous les travailleurs et leur salaire.
INTERIMAIRES, SALARIES, JEUNES TRAVAILLEURS
Le capitalisme par le biais de sa propagande mensongère vous fait accepter les pires conditions de travail et les contrats les moins avantageux.
Vous tous êtes la force indispensable, présente ou future, des capitalistes. Vous êtes les véritables créateurs de toutes richesses. De la production d’allumettes à la fusée spatiale en passant par le papier et l’encre qui ont servi à imprimer ce tract. Vous faites tous partis de la même classe : LE PROLETARIAT.
Ignorants, divisés et passifs vous êtes méprisés et exploités. Conscients, unis et combatifs vous êtes le pire cauchemar de la bourgeoisie.
La fête du premier mai n’est pas comparable dans son essence à une fête folklorique ou une manifestation sportive. Elle est non seulement un symbole de lutte, mais une occasion de nous rassembler et de nous unir contre le patronat.
Le fait de venir à cette fête aujourd’hui est un acte de conscience politique qui doit amener les prolétaires isolés à dépasser le stade de la simple réflexion impuissante pour passer au stade de l’étude et de l’action.
La fête du premier mai n’est pas seulement la fête du travail elle est aussi celle des travailleurs, de notre classe et de tous les opprimés du capitalisme à travers le monde.
Car ne nous leurrons pas la lutte de classes est loin d’être terminée, si nous voulons en finir avec toutes ces injustices nous devons nous organiser, avoir notre parti communiste véritable et détruire ce système économique pourrissant.
VIVE LE 1ER MAI DES TRAVAILLEURS
VIVE LA REVOLUTION SOCIALISTE
Coup pour Coup 31 :
Notre 1er mai est internationaliste et anti-impérialiste !
Le 1er mai, journée internationale des travailleurs et travailleuses, est un symbole fort de la résistance des travailleurs et des peuples en lutte, et de l'internationalisme. Mais chaque jour de l'année devrait lui ressembler, car c'est au quotidien qu'il faut faire vivre des solidarités concrètes et unir nos forces.
Là où il y a oppression…
Aujourd’hui plus que jamais, devant la crise du capitalisme et les révoltes qui grondent, les puissances impérialistes maintiennent leur pouvoir par tous les moyens. L’enjeu est de maintenir ses positions dans la guerre économique coûte que coûte.
Pour les peuples des pays dominés, cela signifie famine, misère, ressources confisquées par les multinationales…
Pour les prolétaires des pays impérialistes, cela signifie augmentation du chômage, du coût de la vie, licenciements, fermetures d’usines, précarité, attaques qui pleuvent contre nos droits (éducation, retraites, santé)…
… il y a résistance !
Mais partout dans le monde, les peuples résistent ! Les peuples du Maghreb et du Moyen-Orient luttent toujours contre les despotes locaux et la misère. Les peuples de Tunisie et d’Egypte continuent de se battre pour ne pas se faire voler leur révolution. Le peuple palestinien résiste depuis plus de 60 ans contre l’occupant sioniste. Les peuples d’Asie, notamment aux Philippines et en Inde, luttent contre l’impérialisme et pour une nouvelle société.
Ici comme là-bas, nous menons le même combat !
La France, après avoir été un grand empire colonial, se débat désormais pour rester une grande puissance impérialiste. Par les entreprises françaises, elle maintient une domination économique importante notamment dans ses anciennes colonies et protectorats (Tunisie, Algérie, Maroc, Côte d’Ivoire etc.). Pourtant, ici en France comme dans le reste du Monde, ces richesses produites ne servent qu’une minorité. Et c'est cette même minorité qui exploite les travailleurs en France, français ou immigrés, comme ils exploitent et pillent les richesses là-bas. La lutte des ouvriers des pays impérialistes et celle des peuples et classes exploitées des pays dominés sont donc une seule et même lutte contre un ennemi commun.
Organisons la solidarité internationale !
Le système capitaliste est mondialisé et survit en opprimant les peuples et en exploitant les travailleurs du monde. C’est en combattant ensemble, ici et là-bas, que nous pourrons y mettre un terme ! La solution dépend de notre engagement pour combattre ici l’impérialisme et construire des solidarités actives avec les peuples du monde. C’est ce à quoi travaille le collectif Coup Pour Coup 31 ! Rejoins-nous !
Les prolétaires n’ont pas de patrie !
Travailleurs de tous pays :
unissons-nous contre l’impérialisme et ses alliés !
RENDEZ-VOUS A 10H15 PLACE ARNAUD BERNARD
POUR UN CORTEGE ANTI-IMPERIALISTE !