Les troupes de l’occupation répriment violemment des manifestations dans les districts de Ramallah et de Naplouse
Par Palestine Info
Les forces de l’occupation israélienne ont violemment réprimé samedi une manifestation à Laban, dans le district de Ramallah, qui était organisée pour protester contre l’assassinat d’une jeune femme par un colon israélien.
Les soldats de l’occupation ont blessé un garçon à la jambe et tabassé un autre pendant une confrontation entre les soldats et les écoliers de l’école Abud, qui organisaient la manifestation.
Les soldats ont dispersé les manifestants à coup de balles caoutchouc-acier et grenades lacrymogènes.
Samar Radwan, 21 ans, a été tuée vendredi par un colon qui l’a renversée en voiture sur une route près du village.
Dans le district de Naplouse, à Irak Burin les troupes de l’occupant ont réprimé une marche organisée hier samedi pour protester contre la confiscation des terres du village.
Les sources locales ont dit que de nombreux manifestants, dont des activistes de la solidarité internationale, ont dû être traités pour des difficultés respiratoires après que les troupes aient tiré un barrage de gaz lacrymogènes, ainsi qu’une pluie de balles caoutchouc-acier, pour disperser la foule.
Les soldats de l’occupation ont tué deux enfants dans le village le mois dernier pendant une marche de protestation similaire.
Source : Palestine Info
Traduction : MR pour ISM
La police palestinienne arrête un leader de la résistance populaire
Par Palestine Solidarity Project
Tandis que Salam Fayyad et autres ministres de l’Autorité Palestiniennes vont marcher à Bil’in et déclarent leur soutien à la Résistance Populaire, leur police continue de réprimer cette résistance lorsqu’elle s’organise en dehors de leur contrôle. C’est la raison pour laquelle Mousa Abu Maria a été arrêté à 1h40 ce matin par la police palestinienne, en coordination avec l’armée israélienne.
Les témoins ont rapporté que plus d’une dizaine de véhicules de la police palestinienne étaient engagés dans l’opération à Beit Ommar, où ils ont également essayé d’arrêter Younes Arrar, membre du comité national, qui n’était pas chez lui. Sa famille a dit que la police n’avait pas de mandat et l’avait effrayée.
Hier, une manifestation pacifique organisée par le Comité National de Beit Ommar contre les colonies a eu lieu pour la troisième fois ce mois-ci sur l’autoroute située à l’extérieur de Beit Ommar, où des activistes palestiniens, internationaux et israéliens ont fait un sit-in pendant plusieurs heures.
Source : PSP
Traduction : MR pour ISM
Les raids nocturnes contre Bil’in continuent
Par Friends of Freedom and Justice
Vendredi 2 avril, juste avant 1h du matin, les forces armées israéliennes sont entrée à Bil’in pour arrêter Yaser Mahir, 18 ans, qui n’était pas chez lui. Cela faisait deux semaines et demi depuis la dernière attaque nocturne au cours de laquelle Bil’in a été déclaré zone militaire fermée et que les activistes internationaux et israéliens sont interdits d’entrer dans le village.
Dimanche 4 avril, Bil’in a été attaqué une fois de plus. Juste avant 1h du matin, les forces israéliennes d’occupation sont entrées dans le village. Quatre jeeps de l’armée ont encerclé la maison de Yaser Awad Yaseen, 27 ans et de sa famille. Les soldats ont présenté à Yaser un document lui ordonnant de se rendre au bureau du Shabak. Yaser n’a pas été informé du motif de sa convocation au bureau du Shabak, mais s’il n’y va pas, il sera arrêté.
Avant le raid nocturne, Gandhi, le petit-fils du leader indien était venu à Bil’in rencontrer la population et le comité populaire, et entendre la tradition du village de résistance pacifique à l’occupation. (Photo ci-dessus Hamde Aburaham)
Source : Friends of Freedom and Justice
Traduction : MR pour ISM
jeudi 8 avril 2010 - 07h:39
Iqbal Jassat - Palestine Chronicle
L’appeler un « Bantoustan » serait trop poli à l’égard de ceux qui détiennent l’autorité réelle ou de fait sur toutes ces questions.
Dans le contexte sud-africain le concept de « Homeland » qui a eu pour conséquence la création de zones ethniques autonomes connues sous le nom de « Bantoustans », tout en ayant beaucoup de parallèles avec le modèle israélien d’un « état » palestinien, est quelque peu atténué !
En effet, le schéma sioniste pour un ghetto palestinien est bien pire que cela.
Il est en fait extrêmement éloigné des caractéristiques de base définissant ce qu’est la souveraineté.
Il est donc étonnant que l’autorité palestinienne [AP de Ramallah] ne comprenne pas ce que beaucoup d’étudiants de première année en Sciences politiques saisiraient facilement : un ghetto est un ghetto et rien qu’un ghetto ! Que l’AP aspire toujours à un tel ghetto en insistant sur une solution à deux-états, sachant que tout futur « état » palestinien reflétera les conditions d’un « Bantustan », est tout aussi étonnant.
Mais ce qui est vraiment stupéfiant et ironique est que la direction de l’AP sous Mahmoud Abbas attende un soutien total et sans conditions pour ce ghetto de la part d’un pays tel que l’Afrique du Sud, dont l’ANC [African national Congress] avait rejeté de telles options de « Bantustans » et avait choisi au contraire de rester fixée sur la défaite de l’Apartheid par la lutte armée.
Malheureusement pour les Palestiniens, la direction du Fatah sous Yasser Arafat a abandonné la lutte armée et a prématurément accepté une option édulcorée bien que restant à l’état de mirage. Le fait est que cette illusion est toujours en place aujourd’hui. Un « état » sans souveraineté ne peut pas être défini comme tel, et il ne peut pas non plus fonctionner comme tel.
Le ghetto ou la condition de Bantustan aura comme conséquence pour les Palestiniens de rester dans un vide politique perpétuel, tandis que le régime sioniste aura trouvé sa réponse à son éternel cauchemar « du problème démographique ».
Il n’y a là rien de neuf. En décembre 2003, Binyamin Netanyahu avait réutilisé les statistiques alarmantes de David Ben-Gurion : « Si les Arabes en Israël atteignent 40 pour cent de la population, » a indiqué Netanyahu, « ce sera la fin de l’état juif. »
« Mais 20 pour cent sont également un problème, » ajouta-t-il. « Si les relations avec ces 20 pour cent deviennent problématiques, l’état est autorisé à utiliser des mesures extrêmes. » Bien qu’il n’ait pas développé alors sur ce qu’étaient susceptibles d’être ces « mesures extrêmes », il est maintenant clair que tout le monde comprend, y compris le Président Obama, qu’elles impliquent la poursuite du nettoyage ethnique de la Palestine.
Malgré cela il semble évident que l’AP est peu disposée à analyser ses échecs et à inverser une foule de gaffes stratégiques. Clairement, l’AP a été motivée par des incitations économiques pour une grande part de son élite avec pour résultat qu’elle a tourné le dos aux défis auxquels fait face à la Palestine. Qu’elle ait succombé au jeu sioniste de la « carotte et du bâton » est évident dans le fait qu’Abu Mazen reste toujours en fonctions en dépit de la fin de son mandat présidentiel.
L’idée développée par Jonathan Cook était que le pouvoir d’Arafat, depuis son retour dans les Territoires Occupés, dépendait entièrement de la bonne volonté israélienne.
Comme l’on fait des dizaines de dictateurs arabes dans leurs propres territoires pour le compte de leurs maîtres coloniaux occidentaux, Abu Mazen et sa clique ne sont rien de plus que des sous-traitants de la sécurité israélienne. Arafat s’est finalement racheté en faisant face à l’Israël, mourant dans des circonstances mystérieuses et regagnant son ancien statut de combattant de liberté, quoiqu’à titre posthume. Les événements qui ont conduit à sa mort ont refocalisé l’attention de la communauté internationale sur la situation extrêmement difficile de la Palestine qu’il avait personnifiée.
Le message hier comme aujourd’hui est clair : à moins que l’AP ne change fondamentalement ses politiques futiles, Israël la gardera comme associée, oui ... comme associée, pour maintenir une Palestine réduite en fragments, et abandonner le rêve d’un état palestinien sur le territoire entier incluant ce qui est connu sous le nom d’Israël.
*Iqbal Jassat est président du Media Review Network (MRN) basé à Prétoria.
5 avril 2010 - Palestine Chronicle - Vous pouvez consulter cet article à :
http://www.palestinechronicle.com/v...
Traduction : Nazem
Voir aussi : L’AP de Ramallah prête la main aux forces d’occupation pour disperser une manifestation à Bethlehem
vendredi 9 avril 2010 - 11h:46
Cirepal
Il mène une grève des visites familiales pendant tout le mois d’avril et une grève de la faim de dix jours (du 7 au 17 avril). Ce mouvement est suivi dans les dix prisons centrales sionistes, que ce soit par les prisonnières, les enfants ou les adultes palestiniens et arabes. Depuis quelques années, une répression croissante sévit contre les prisonniers et leurs familles.
Privés de plusieurs moyens d’information indépendants, les prisonniers sont depuis plus d’un an interdits d’avoir par exemple la chaîne al-Jazeera. L’administration carcérale a, de plus, interdit l’entrée des livres et a récemment interdit, dans la prison de Ofer, l’utilisation de la bibliothèque.
Bien que le droit des visites soit un droit légalement reconnu, les autorités sionistes en ont fait un parcours de l’humiliation et un moment douloureux pour des milliers de prisonniers, qui en sont privés soit pour des « raisons sécuritaires » soit parce que les prisonniers sont de la bande de Gaza.
Ce que réclament les prisonniers, par leur grève de protestation, c’est la liberté des visites dans la dignité. Récemment, deux femmes de prisonniers ont été fouillées à nu alors qu’elles se rendaient aux visites des leurs. Bien qu’elles aient protesté et refusé de poursuivre leur trajet à cause de ces fouilles, les représentantes de l’armée sioniste ont cependant insisté pour les fouiller à nu.
Par leur mouvement, les prisonniers espèrent attirer l’attention de la Croix Rouge Internationale qui fait la sourde oreille et accepte le diktat israélien sur les conditions humiliantes et répressives des visites. Le droit aux visites est un droit légalement reconnu pour tous les prisonniers dans le monde, et il est de plus un droit acquis par la lutte du mouvement des prisonniers.
Parmi les revendications du mouvement des prisonniers, figure celui de l’autorisation à passer les examens du baccalauréat pour des centaines de prisonniers (tawjihi), jeunes et moins jeunes. C’est selon l’humeur du moment que les autorités sionistes autorisent ou non les prisonniers à passer leurs examens. Il y a quelques années, alors que les étudiants prisonniers s’y préparaient, les autorités carcérales ont supprimé l’autorisation, à la dernière minute, par mesures punitives et pour démoraliser les prisonniers. Il est à craindre que l’arrestation et la détention de dizaines d’enfants, au cours de la révolte d’al-Quds, en mars 2010, soient l’occasion pour une interdiction, par vengeance, de tous ces jeunes de passer leurs examens de fin d’année et notamment le baccalauréat pour certains d’entre eux.
Le mouvement des prisonniers réclame également le suivi régulier des cas des prisonniers malades et gravement atteints. Les cas de décès deviennent de plus en plus fréquents, même après leur libération, à cause des mauvais traitements subis et à cause de la négligence médicale intentionnelle dont font preuve les autorités carcérales.
Là aussi, Israël bafoue toutes les lois internationales relatives aux soins qu’il doit dispenser aux prisonniers palestiniens et arabes dans ses prisons. Il faut mentionner à ce propos que les autorités sionistes utilisent les prisonniers comme cobayes pour leurs expériences pharmaceutiques. Ces expériences ont été prouvées il y a plusieurs années par des députés israéliens, mais il semble que le silence de plomb qui plane sur cette affaire et l’impunité dont jouit l’entité sioniste dans le monde, devenu de plus en plus sourd aux cris des opprimés, ont favorisé une recrudescence des expériences, ce dont ont témoigné plusieurs prisonniers, victimes de ces pratiques inhumaines et illégales.
C’est pourquoi le mouvement des prisonniers, soutenu par de nombreuses associations palestiniennes et arabes de solidarité avec les prisonniers, réclame que des médecins indépendants puissent entrer et consulter les prisonniers, et même les soigner. C’est la mort que les prisonniers affrontent tous les jours, tant qu’ils sont à la merci des geôliers sionistes. 50 parmi les 340 enfants prisonniers dans les geôles de l’occupation sioniste sont classés malades.
Malgré leur jeune âge, les autorités carcérales ne leur fournissent aucun soin approprié. Il faut également rappeler que récemment, plusieurs des enfants détenus dans la prison de Telmond ont été empoisonnés par la nourriture fournie par l’autorité de la prison.
Le mouvement des prisonniers réclame également la fin de la mise en isolement de plusieurs dirigeants de la lutte nationale palestinienne.
Les autorités carcérales sionistes ont isolé depuis plusieurs mois dans des cellules individuelles 18 dirigeants : Ahmad Saadate dont l’état de santé s’est détérioré il y a plus d’un mois, Yihya Senouar (très malade, il risque la mort), Thabit Mardawî, Hassan Salameh, Ahmad al-Moghrabi, Abdallah Barghouty, Muhammad Jamal Natché, Ibrahim Hamed, Mu’tazz Higazi, Jamal Aboul Hayga, Mahmoud Issa, Salih Dar Mousa, Hisham Shurbati, Mahwash Ni’mat, Atwa al-Ammour, Iyad Abu Hasne, Muhannad Shrayem, ‘Ahid Ghulme, ainsi que la prisonnière Wafa’ al-Biss de la bande de Gaza. Le dernier rapport concernant les prisonniers palestiniens et arabes dans les geôles de l’occupation sioniste mentionne 8200 prisonniers (sans prendre en compte les récentes arrestations dans la ville d’al-Quds, où ce sont surtout des enfants qui ont été arrêtés). Parmi ces prisonniers, 800 sont de la bande de Gaza, 500 de la ville d’al-Quds, des territoires occupés en 48 et du Golan syrien.
Après la libération récente de Muhammad Hashshash, 47 ans, membre du Hamas du camp de Breij, dans la bande de Gaza, qui a passé 20 ans en prison, le haut comité des prisonniers formé par le ministère chargé des prisonniers et libérés, dans la bande de Gaza, a publié un communiqué dans lequel il précise que le nombre des anciens prisonniers (plus de 15 ans de détention) est actuellement de 313 prisonniers, dont 115 prisonniers (plus de 20 ans de détention), 14 d’entre eux sont prisonniers depuis plus de 25 ans et 3 ont franchi les 30 ans de détention.
Na’il Barghouty : 33 ans de détention dans les prisons de l’occupation sioniste
Arrêté et détenu depuis le 4 avril 1978, Na’il Barghouty est le plus ancien détenu dans les prisons sionistes et mondiales. Sa détention a battu le triste record du monde. Cette vérité est une preuve supplémentaire de la barbarie de l’Etat sioniste, Etat exceptionnellement meurtrier et colonial. Il a été condamné à la prison à vie.
Fakhri Barghouty, cousin de Na’il, vient en seconde position dans la durée de sa détention. Il a été arrêté le 23 juin 1978 et a été condamné à la prison à vie. Son fils Shadi est détenu également depuis 2003 et est condamné à perpétuité.
Et son autre fils Hadi a été détenu pendant quatre ans. Une campagne internationale, initiée par des associations palestiniennes, est en cours, pour faire connaître et réclamer la libération immédiate des anciens prisonniers, pour qu’ils ne demeurent plus uniquement un chiffre. Participez à cette campagne autant que vous le pouvez, écrivez partout les noms des anciens prisonniers palestiniens, à commencer par Na’il et Fakhri Barghouty, symboles de l’endurance du peuple palestinien et de la lutte contre l’oppression sioniste.
Akram Mansour, de la ville de Qalqylia, a été arrêté et détenu en août 1979. Il fait partie des trois prisonniers palestiniens détenus depuis plus de 30 ans.
Fouad Razzam est le plus ancien prisonnier de la ville d’al-Quds. Il a été arrêté et détenu le 30 janvier 1981.
Parmi les anciens prisonniers, figure également Sami Salameh Younis, né en1929, et arrêté et détenu depuis janvier 1983. Il avait été condamné à la peine de mort, mais sa peine a été réduite à 40 ans de prison. Sami Younis est père de famille et est malade. Il est le plus âgé des prisonniers. Il fait partie des 109 prisonniers de l’intérieur (c’est-à-dire des Palestiniens qui vivent dans l’Etat sioniste, la Palestine occupée en 48). Parmi les prisonniers de l’intérieur, 21 son condamnés à une ou plusieurs perpétuités, 5 sont condamés à plus de 30 ans de prison. 4 d’entre eux sont en prison de plus de 25 ans, et 12 d’entre eux ont passé entre 20 et 25 ans de leur vie en prison.
Solidarité avec le mouvement des prisonniers
Plusieurs associations palestiniennes de solidarité avec les prisonniers sont en état d’alerte depuis le début du mois d’avril, pour accompagner le mouvement de protestation des prisonniers : la grève des visites pendant tout le mois d’avril 2010 et la grève de la faim du 7 au 17 avril 2010, jour national des prisonniers. Dans la bande de Gaza, les familles et les organisations protestent tous les jours, devant le siège de la Croix-Rouge international, et en Cisjordanie, des activités locales se déroulent, sans prendre cependant l’ampleur générale que devrait avoir un mouvement de solidarité avec les prisonniers. Dans la ville d’al-Quds, en Palestine 48 et dans le Golan syrien, c’est la mobilisation générale ! Ce vendredi, les familles de prisonniers et les associations diverses organisent la prière du vendredi devant les prisons de Hasharon et de Haddarim, dans un mouvement ascendant qui culminera le 17 avril prochain et qui a commencé dès la première semaine d’avril dans un rassemblement populaire devant la prison de Gilboa.
Dans un appel aux régimes arabes, à la Ligue arabe et à la conférence islamique, dr. Bahr, adjoint à la présidence du conseil législatif palestinien, a réclamé que la question de la libération des prisonniers palestiniens figure dans leurs programmes d’action envers les instances internationales. Il a rappelé que la solidarité avec la grève des prisonniers est un devoir légal, national, moral et humain, d’autant que les revendications des prisonniers relèvent de leurs droits humains. Il a également appelé les organisations internationales de solidarité avec les peuples opprimés et leurs droits humains d’organiser les protestations et de dénoncer, devant les instances de l’ONU et autres internationales, le sort fait par les autorités sionistes aux prisonniers palestiniens et arabes.
. MOBILISONS-NOUS POUR RECLAMER LA LIBERATION IMMEDIATE DE TOUS LES PRISONNIERS PALESTINIENS ET ARABES DANS LES PRISONS DE L’OCCUPATION !
. RECLAMONS DES INSTANCES INTERNATIONALES ET NOTAMMENT DE L’ONU D’INTERVENIR AUPRES DES CRIMINELS SIONISTES POUR RESPECTER LES DROITS DES PRISONNIERS : droit de visite dans la dignité, droit à l’enseignement, droit aux soins dignes et appropriés.
. LES PRISONNIERS PALESTINIENS ET ARABES SONT DES RESISTANTS ET DES COMBATTANTS DE LA LIBERTE : ils doivent avoir le statut de prisonniers de guerre.
. LES PRISONNIERS NE DOIVENT PAS ETRE UNE MARCHANDISE de négociation entre l’Autorité palestinienne et l’Etat sioniste : ils doivent être libérés dans la dignité et ne pas être un prétexte pour faire encore plus de concessions !
8 avril 2010 - Diffusion et traduction par CIREPAL
Centre d’Information de la résistance en Palestine