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14 février 2010 7 14 /02 /février /2010 10:33

Blog des Peuples en Lutte

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Norte de Irlanda

Des prisonniers républicains exigent le droit d'organiser leur propre zone dans prison de Portlaoise.
La négation d'un espace séparé pour les volontaires du C.IRA dans la prison de Portlaoise fait, selon des sources du RSF (Republican Sinn Féin), partie d'une politique de criminalisation de la résistance républicaine irlandaise à la domination britannique en Irlande.
Depuis 1917, 22 républicains irlandais sont morts en défense de leur droit à la condition de prisonniers politiques.
Dans les années 40 les prisonniers républicains à Portlaoise ont été des premiers 'Blanketmen' en opposition à la criminalisation.
Dans les années 70 les prisonniers républicains ont supporté une grève de la faim de 47 jours.
Les prisonniers républicains à Portlaoise aujourd'hui défendent le même droit à la condition politique, parce qu’ils font partie de la même lutte.
Les prisonniers du C.IRA exigent leur droit à un lieu séparé. Selon le RSF, La demande des prisonniers de guerre du C.IRA est simple - ils veulent continuer d'être traités comme prisonniers politiques - comme d’autres groupes qui sont dans la prison.
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14 février 2010 7 14 /02 /février /2010 10:30

Blog des Peuples en Lutte

http://www.askatu.org/fitxategia_ikusi.php?id_fitxategia=4681
Le 9 février 2010 [17h58] : (Unità Naziunale, www.unita-naziunale.org – Corse – Lutte Internationale)


Il y a 29 ans, le 13 février 1981, Joseba ARREGI, habitant de Zirzukil, mourrait à Carabanchel des suites de la torture que ses tortionnaires espagnols lui avaient fait subir. Depuis lors cette journée marquée au fer rouge est consacrée à dénoncer la persistance de la torture contre Euskal Herria. L’un des cinq tortionnaires de Joseba ARREGI est l’actuel Commissaire général de la police judiciaire espagnole : José Antonio GONZALEZ GARCIA (condamné, il avait ensuite été gracié… comme tous les tortionnaires reconnus).

Il y a peu, le responsable espagnol de la collaboration franco-espagnole dans la « lutte anti-terroriste », en poste à Pau, était un trois gardes civils, tortionnaires en 1992, condamnés et absouts, de Kepa URRA. Il s’agit du commandant de la guardia civil Manuel SANCHEZ CORBI. Ce tortionnaire est-il toujours en poste à Pau ?

Le mouvement pour l’amnistie d’Euskal Herria signale qu’au cours de ces trente-cinq dernières années, plus de 7000 (sept mille) citoyens basques ont été torturés dans les dépendances policières. En janvier 2008, Igor Portu avait dû être hospitalisé suite aux tortures subies (4 gardes civils viennent d’être inculpés pour cela en février 2010). En 2009 ce sont 45 basques qui ont dénoncé avoir été torturés dont le jeune navarrais Alain Berastegi enlevé, torturé puis relâché dans la montagne d’Irunberri, en juillet.

En ce début 2010, plusieurs cas de tortures (avec hospitalisations) viennent d’être connus (Pello Olano de Lizartza, Asier Badiola le 26 janvier,…).

Cette année à Iruñea/Pampelune, un des intervenants pour cette journée du 13 février contre la torture sera Martxelo OTAMENDl, directeur du quotidien en langue basque, interdit, EGUNKARIA, torturé lui-même en février 2003.

En 2009 l’ONU a demandé à l’Espagne d’abolir le régime d’incommunication (au secret) lors des gardes à vue, régime qui permet la pratique de la torture par la police et la guardia civile espagnoles.

Le Journal du Pays Basque
L'Etat espagnol continue à utiliser la torture "comme instrument politique"

11/02/2010

La date du 13 février est marquée au fer rouge dans la lutte contre la torture au Pays Basque. Samedi, cela fera 29 ans que le militant basque Joseba Arregi a succombé à de graves blessures suites à de mauvais traitement infligés durant près de neuf jours alors qu'il se trouvait dans un commissariat sous le régime de la mise au secret. Une manière de montrer que presque trente ans après, l'utilisation de la torture persiste.

Et l'actualité ces derniers jours en fait encore état. Interpellés le 26 janvier dernier, Ibon Iparragirre, Asier Badiola, Xeber Uribe, Jabi Esnaola, Jon Zubizarreta puis quelques jours plus tard Urtza Alkorta Zunbeltz Bedialauneta, Olaitz Lema et Igor Martin, tous ont déclaré avoir été menacés, battus et avoir subi des pressions de l'Ertzaintza. Trois d'entre eux ont fait l'objet d'hospitalisation. A. Badiola a, en plus, déclaré avoir été drogué par des agents. C'est le cas également de Pello Olano, interpellé et incarcéré le 12 janvier dernier, qui a dénoncé avoir été «sauvagement» torturé alors qu'il se trouvait sous le régime de la mise au secret et entre les mains de la Guardia civil.

Selon le Mouvement pour l'amnistie, en 2009 au Pays Basque, 45 personnes ont déclaré avoir subi de mauvais traitements d'agents de la Ertzaintza, de la Guardia civil mais surtout de la police nationale espagnole (40 cas au total), ce qui porte à 7 000 les citoyens basques victimes de tortures infligés par des forces de police ces quarante dernières années.

Dans la majeure partie des cas, les personnes arrêtées ont été soumises à «un interrogatoire illégal continu, sans la présence d'avocat», ils ont «reçu des coups et des menaces», ils ont été contraints à rester «dans des positions inconfortables» conduisant à un épuisement physique et ont «été sous pression et en particulier par une torture psychologique en menaçant leurs familles, les jeunes enfants et les compagnons». Cependant, ces derniers temps, une technique de torture consistant à intoxiquer, droguer les militants basques est réapparue, comme dans le cas d'Asier Badiola.

«Ils ont l'intention de continuer à utiliser la torture» ont déclaré des membres du Mouvement pour l'amnistie, après avoir constaté que «tous les gouvernements ont eu recours à la torture dans sa folie répressive contre Euskal Herria». «Le gouvernement espagnol utilise la torture comme un instrument politique pour mettre fin à la lutte pour l'indépendance, l'information politique, l'auto-incriminant des déclarations de détenus et dans le but de répandre la peur parmi le peuple basque», ont-ils insisté. En 2009, dans un rapport, l'Organisation des Nations Unies avait demandé à l'Etat espagnol de supprimer le régime de la mise au secret, période durant laquelle les mauvais traitements sont infligés. Amnesty International s'est, quant à elle, inquiétée que «ces allégations ne donnaient pas lieu de manière systématique à des enquêtes indépendantes et exhaustives, menées dans les meilleurs délais».

Enfin, dans le cadre de la journée de samedi, plusieurs mobilisations sont prévues. A Iruñea, une conférence-débat est organisée en présence de représentants de Torturaren aurkako Taldea, Amnesty International et le Comité pour la prévention de la torture, avec Martxelo Otamendi, qui avait dénoncé des mauvais traitements suite à son arrestation dans l'affaire du quotidien basque Egunkaria, et des représentants de secteurs tels qu'avocats, médecins, psychiatres.

Quatre gardes civils inculpés

Peu de dénonciations de tortures font l'objet de procès et la majorité des condamnés sont souvent graciés. Mais dans le cas d'Igor Portu et Mattin Sarasola, le procureur de Gipuzkoa a, ces derniers jours, décidé de poursuivre quatre des quinze gardes civils accusés de tortures par les deux militants. I. Portu et M. Sarasola avait tous deux été arrêtés le 6 janvier 2008 à Arrasate puis transférés non pas vers une unité de la guardia civil mais sur un terrain vague dans une zone montagneuse et à proximité d'une rivière selon les témoignages. Dans son rapport, la Procureur mentionne que I. Portu aurait été victime de coups, conduisant à une hospitalisation où il a passé trois jours à l'unité de soins intensifs suite à de graves blessures. M. Sarasola avait, lui aussi, dénoncé des traitements similaires.

Le magistrat donostiar a requis trois ans de prison pour deux des gardes, deux ans pour les deux autres, ainsi que des indemnisations. Il a donc décidé de démonter la version officielle du ministre de l'Intérieur espagnol, Alfredo Pérez Rubalcaba, qui avait nié l'existence de tortures.

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Sare Antifaxista


30 ans s’accomplissent depuis la séquestration et l'assassinat de la jeune deustuarra de 19 ans Yolanda González Martín aux mains du Batallón Vasco Español, groupe parapolicier qui a assassiné 27 citoyens basques.
Batallón Vasco Español "Comando 41" composé par : Emilio Hellín et Ignacio Abad, en premier lieu, accusés d'être les auteurs matériels de l'assassinat; Félix Pérez Ajero, José Ricardo Prieto et Juan Carlos Rodas, ce dernier policier national, qui ont exercé des fonctions de surveillance pendant la séquestration de la victime dans son domicile, et David Martínez Loza, qui était chef national de sécurité de Fuerza Nueva quand les faits ont été commis.

Le cadavre de Yolanda González Martín, jeune de 19 ans de la Rive de Deustu (Bilbo), est apparu à l'aube du 2 février 1980. Elle est apparue morte avec un coup de feu dans la tempe à San Martín de Valdeiglesias, une petite localité madrilène. La veille elle avait été séquestrée aux portes de sa maison à Madrid par une cellule du BVE qui, après l'avoir interrogée, l'a assassinée d'un tir pour “être basque”, comme ils l’ont indiqué dans la revendication. « Pour une Espagne grande, libre et unique ¡Arriba España! » ainsi s’achève le communiqué de la bande parapolicière.
Yolanda González, militante du PST (Parti Socialiste des Travailleurs), portait au moment de son assassinat un tee-shirt avec les écus et le nom d'Euskal Herria. De même, elle portait un lauburu pendu à la chaîne du cou. González résidait dans la capitale espagnole depuis un an. Elle s'était déplacé jusque là pour suivre des études d'électronique.
Quelques membres de Fuerza Nueva (parti qui est connu aujourd'hui sous le nom de Frente Nacional) ont été arrêtés comme responsables de l'assassinat de Yolanda. Entre les impliqués sont apparus des policiers nationaux, des guardia civil et jusqu'à un membre de l'espionnage espagnol, comme l’a dénoncé la presse de l'époque. Les auteurs matériels, Emilio Hellín et Ignacio Abad, malgré les condamnations élevées qui leur ont été imposées et que Hellín s’est échappé deux fois de prison, seuls sont restés en prison. Jamais on n’a arrêté, accusé ni emprisonné les auteurs intellectuels de l'assassinat de Yolanda.

Oroimena, duintasuna eta borroka!!

Mémoire, dignité et lutte!!
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9 février 2010 2 09 /02 /février /2010 16:36

Associazione Solidarietà Proletaria (ASP)
CP 380, 80133 Napoli - Italia
E-mail:
info@solidarietaproletaria.org
Sito web: www.solidarietaproletaria.org


Appel

Chers camarades,

Nous vous écrivons au nom de la jeunesse indépendantiste basque, pour vous informer sur une nouvelle campagne lancée à niveau international.

Nous représentons la jeunesse d'un Peuple qui vit sous la domination de l'État espagnol et de l'État français, dans le coeur de l'Europe capitaliste. Ils s'est passé de nombreuses années, plus de trente et une, depuis que nous avons donné naissance à notre lutte.

Notre chemin a commencé avec la création d'organisations de jeunesse et de collectifs qui luttaient pour un futur basé sur la justice sociale et la liberté.

Ce mouvement s'est ensuite beaucoup developé, actuellement nous sommes structurés en diverses organisations et collectifs qui luttent sur différents fronts : écologiste, féministe, internationaliste, pour l'autodétermination, pour le droit au logement.

Mais cette bataille pour construire une autre societé nous a coûté cher. L'ennemi, effrayé de nos rêves et de notre force a tenté à de les réduire silence à travers une stratégie de répression violente. Toutefois, nous continuons à répondre avec fermeté et détermination à ses attaques.

Un exemple de cette stratégie est que le 19 janvier 2007, l'État espagnol a déclaré "terroristes" tous les membres de SEGI. Avec ce prétexte, des centaines de jeunes ont été arrêté-e-s et torturé-e-s. Nous avons expérimenté de nombreuses et massives opérations de police. Mais, notre unique tort est celui d'avoir des convictions sociales et politiques.

La plus récente opération répressive contre nous, a eu lieu le 23 novembre 2009. Cette nuit là, 34 jeunes ont été arrêtés par plus de 650 policiers, puis torturés pendant le régime d'isolation en prison, jusqu'à présent tous ont été emprisonnés, à l'exception de deux seulement.

Malgré tout nous sommes déterminés à mener de l'avant notre lutte. Mais vôtre appui est également nécessaire pour continuer notre lutte. C'est pour ceci que nous vous demandons de soutenir notre manifeste, qui comprend trois demandes principales. Nous vous demandons aussi de le soumettre aux représentants des Espagnols et des Français présents dans votre pays et aux ambassades des deux États.

Avec l'espoir de nous retrouver dans la lutte.

Avec solidarité, salutations révolutionnaires.

 http://basqueyouth.wordpress.com

MANIFESTE :

Tenu compte de la situation que vit actuellement le mouvement de la jeunesse basque, diverses organisations juvéniles soutiennent le texte suivant :

1 - tous les projets politiques doivent avoir les mêmes possibilités. Toute la jeunesse du monde a le droit de s'organiser et participer à la vie politique sans subir quelque répression ou menace. Par conséquent, nous exigeons que les États français et espagnol mettent fin aux attaques contre la jeunesse basque.

2- nous exigeons que l'État espagnol mette fin aux tortures et à l'impunité pour les argousins. Nous exigeons aussi que le gouvernement espagnol mette en oeuvre les mesures recommandées par de nombreuses organisations internationales

3. Nous demandons aux États espagnol et français de s'engager en faveur d'une résolution politique et démocratique du conflit basque. Nous les appelons au respect des mots et des décisions du peuple basque et à mettre fin à leur actuelle stratégie de guerre.

SIGNATURE

http://basqueyouth.wordpress.com/sign-3/

 

http://basqueyouth.files.wordpress.com/2010/02/logo-irudiagrisa1.jpg





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3 février 2010 3 03 /02 /février /2010 19:45



BRETAGNE RÉUNIE et 44=BREIZH vous donnent rendez-vous le samedi 27 février 2010 à Nantes !

Ceci pour une grande démonstration festive et originale de la vitalité de notre revendication d'unité pour la Bretagne.

Tous et toutes ensemble réunissons-nous dans le port maritime de Nantes, aux Machines de l'île (à côté de la Nef de l'éléphant) pour la réalisation d'une immense fresque humaine pour la Réunification de la Bretagne !
Des photos aériennes seront prises afin d'immortaliser ce moment unique !

Pour une Bretagne unie et solidaire, rendez-vous à 14 heures aux Machines de l'Île (Bd. Léon Bureau) à Nantes.


http://fresquehumainereunification.wordpress.com/

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BREIZH UNVAN ha 44=BREIZH a c'halv an holl dud da zont evit un degouezh gouel dreistordinal, da ziskouez birvidigezh ar stourm evit ma vo unvan Breizh.

Kejomp holl a-gevret e porzh Naoned, tal-kichen mekanikoù an Enezenn hag an Olifant, evit sevel ur bras a freskenn-tud a-du gant an Adunvaniezh.
Ur skeudenn a vo kemeret gant ur vilin-nij a-benn derc'hel soñj deus an darvoud-mañ !

Sonerezh a vo, ur fañfar hag ur sonadeg digoust, evit ma stago an holl d'ober diflukañ un dazont nevez evit Breizh.

Evit Breizh unvan ha kengred, emgav da 2e abardaezh e Mekanikoù an Enezenn e Naoned.

http://fresquehumainereunification.wordpress.com/

http://fresquehumainereunification.files.wordpress.com/2010/01/affichefresquehumaineweb.jpg
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1 février 2010 1 01 /02 /février /2010 18:30

Unità Naziunale

Le 1er février 2010 [09h00] : (Unità Naziunale, www.unita-naziunale.org – Corse – Lutte Armée) Le Front de libération nationale de la Corse (FLNC) a revendiqué, dimanche 31 janvier, à Ajaccio, deux jours avant une visite de Nicolas Sarkozy, vingt-quatre attentats perpétrés depuis un an dans l’île contre des gendarmeries et biens de l’Etat et contre des maisons particulières. Dans un communiqué authentifié transmis à l’AFP, le FLNC a revendiqué six « actions anti-répression contre l’Etat« , notamment un tir de roquette contre la gendarmerie de Corte (Haute-Corse), en janvier 2009, et des coups de feu contre celles de Bonifacio et Porto-Vecchio (Corse-du-Sud), en avril.
LOGO-FLNCL’organisation clandestine a aussi revendiqué dix-huit actions contre la « spéculation foncière et immobilière » quasiment toutes commises sur le littoral de Corse-du-Sud, généralement contre des résidences secondaires dont les propriétaires vivent hors de Corse. Les plus récentes ont visé le 18 janvier des villas de continentaux en bord de mer.

« Le gouvernement français se moque du peuple corse »

Ces revendications concluent un communiqué de sept pages du FLNC diffusé deux jours avant une visite en Corse du président Nicolas Sarkozy, sur le thème du développement durable.
« Le gouvernement français sous la coupe de Nicolas Sarkozy se moque du peuple corse. Sa venue en Corse pour soutenir ses amis Santini-Rocca Serra sera sans annonce et sans effets », a écrit le FLNC.
Ange Santini (UMP) préside le Conseil exécutif de Corse et le député UMP de Corse-du-Sud Camille de Rocca Serra, président de l’Assemblée territoriale, conduira la liste de droite UMP aux élections régionales de mars.

« L’omniprésence de groupes économico-financiers »

Dénonçant notamment « l’omniprésence de groupes économico-financiers » comme Véolia, Total, Vinci, Leclerc, Casino, le FLNC a notamment stigmatisé un Plan d’aménagement et de développement durable pour la Corse (PADDUC) dont le « seul axe est la dépossession de la terre corse et la multiplication de résidences secondaires pour milliardaires, -people- ou retraités du Nord de l’Europe ».
Nicolas Sarkozy, qui doit effectuer une visite de quelques heures à Ajaccio et dans les environs, « ne sera certainement pas celui qui prendra la responsabilité de se situer dans une perspective d’évolution en faveur des droits nationaux du peuple corse », est-il ajouté dans le communiqué.
Cette visite est la première de Nicolas Sarkozy depuis octobre 2007 quand il avait présidé à Ajaccio un conseil des ministres décentralisé.
Estimant que « à travers des hommes comme Santini et Rocca Serra, se dévoile clairement l’incapacité de la classe politique traditionnelle à prendre et à faire prendre en compte les intérêts fondamentaux de la Corse ». Le FLNC a appelé à « obtenir des avancées politiques conséquentes en rupture avec le système d’aliénation et d’avilissement actuel ».

Le « cadenassage » de la Collectivité territoriale de Corse

L’organisation clandestine a notamment dénoncé le « cadenassage » de la Collectivité territoriale de Corse « renforcé par le nouveau et anti-démocratique dispositif électoral des 7% accompagné de la prime de 9 élus au second tour » afin d’empêcher « une représentation réelle du Mouvement national et en particulier de la Lutte de Libération nationale ».
L’une des onze listes inscrites aux élections territoriales revendique clairement l’indépendance, celle du parti Corsica Libera.
Le FLNC, auparavant divisé en entités clandestines distinctes, se présente depuis août 2009 comme unifié.
Il a enfin rappelé les revendications sur la reconnaissance des « droits nationaux du peuple corse« , notamment de la citoyenneté, de la langue et de la culture, une « évolution statutaire vers un dispositif législatif intégral » et la libération des « prisonniers politiques ».

Nouvelobs.com

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1 février 2010 1 01 /02 /février /2010 18:27

Le JPB

30/01/2010

Béatrice MOLLE

La procureure de Bayonne Anne Kayanakis a répondu hier soir par la négative à la demande du Collectif Jon Anza : selon elle, aucun élément nouveau ne justifie la désignation d'un juge d'instruction, dans le cadre de cette affaire.

Dans la matinée, le collectif Jon Anza avait réagi à la publication dans nos colonnes (26/01/2010) de l'extrait d'un livre à paraître le 24 février et qui pointe du doigt un service de la police espagnole dans la disparition du militant basque Jon Anza le 18 avril 2009. Principaux messages délivrés par le collectif : le souhait que dans le dossier de cette disparition inquiétante, un juge d'instruction soit nommé. «Nous voudrions faire en sorte que la vérité soit connue et que la procureure puisse désigner un juge d'instruction indépendant. Nous ne doutons pas de sa sincérité, mais nous pensons qu'il est primordial qu'un juge d'instruction prenne l'affaire en main. Par ailleurs, nous pensons que Mme Alliot-Marie, qui était ministre de l'Intérieur lorsqu'a eu lieu l'enlèvement et aujourd'hui ministre de la Justice peut très bien connaître les tenants et les aboutissants de cette affaire, et la collusion entre les deux polices. Nous allons saisir MAM, par le biais d'une lettre ouverte pour obtenir des réponses à ce sujet» explique le Collectif représenté hier par Michel Berger, Anaiz Funosa (Askatasuna), Xabi Larralde (Batasuna), Michaël Alcibar (AB), Txomin Catalogne (Segi), Maylis Iriart (LAB) et Michel Mendiboure (Anai-Artea). Le Collectif indique ne pas connaître Jacques Massey, l'auteur de l'ouvrage ETA : Histoire secrète d'une guerre de cent ans qui s'appuie sur des informations «provenant de l'entourage de Joseba Egibar et celles de hauts fonctionnaires français» qu'il a lui même contacté.

Toujours la même piste

Pour la deuxième fois, après le quotidien Gara, l'ouvrage pointe du doigt un service de la police espagnole dans cette affaire. Jon Anza a été vu pour la dernière fois en gare de Bayonne, alors qu'il s'apprêtait à prendre le train pour Toulouse. «Nous avons entrepris nous-même de faire les recherches, mais toutes les vidéos et contrôles ont été détruits. Aujourd'hui c'est la procureure qui a tout en mains. La seule réponse que nous ayons est que `l'enquête suit son cours'. Mais une personne ne peut pas disparaître ainsi !» lance le Collectif Jon Anza.

Enregistrements administratifs

Recontacté, J. Massey réitère les propos de ses interlocuteurs : «Ce sont des gens sérieux, des hauts fonctionnaires qui d'ailleurs après publication de l'extrait dans votre journal n'ont pas démenti cette version et ne m'ont fait aucun reproche, bien au contraire!»

Quant à d'autres précisions sur la présence d'écoutes téléphoniques dans cette affaire, comme il le relate dans son livre, Jacques Massey explique : «La première information que l'on m'a donnée est qu'il y a eu des traces matérielles de cet `incident'. Plutôt que d'écoutes téléphoniques, il serait plus adéquat de parler d'enregistrements administra- tifs.» Des éléments matériels, aux dires de ces interlocuteurs, dans une enquête qui en manque cruellement. Reste que dans ce genre d'affaires, la part d'ombre prend souvent le pas sur la recherche de la vérité.


http://www.unita-naziunale.org/portail/images_2009/Aout09/GHJURNATE_IPF_26.JPG
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1 février 2010 1 01 /02 /février /2010 17:40

Secours Rouge

France: Manifestation à Roanne pour Lorentxa Guimon

Une cinquantaine de personnes sont venues en autocar du Pays-Basque pour apporter leur soutien à Lorentxa Guimon, détenue à la prison de Roanne et en grève de la faim depuis 28 jours. Les manifestants, appartenant à Askatasuna, l’organisation de soutien aux prisonniers politiques basques, et Etxerat, un collectif des familles des prisonniers basques, ont déployé devant le centre de détention plusieurs grandes banderoles sur lesquelles on pouvait lire notamment: 'Respect des droits des prisonniers', 'Eloignement + isolement = torture' et 'Les prisonniers basques au Pays-Basque'. Une autre visait la directrice de la prison. Ils ont lancé de nombreux slogans en basque et en français, parfois hostiles aux gouvernements français et espagnol, et surtout pour réclamer le retour des prisonniers 'à la maison'. Les manifestants, auxquels s’étaient joints quelques membres de la CNT venus de Saint-Etienne, ont ensuite rejoint le centre-ville de Roanne drapeaux au vent. Le cortège a rejoint le Palais de justice devant lequel les banderoles ont été déployées. De nombreux tracts ont aussi été distribués.

Lorentxa Guimon, 40 ans, est une des 160 prisonniers politiques basques détenus en France. A Roanne, où elle a été transférée en juillet dernier, elle purge une peine de 17 ans de réclusion pour son appartenance à l’appareil logistique d’ETA. Elle a entamé début janvier une grève de la faim pour exiger de retrouver en détention son compagnon Iñaki Esparza, ancien responsable de l’appareil logistique d’ETA, condamné pour sa part à 19 ans de réclusion et qui purge sa peine dans les Hautes-Pyrénées. Ce rapprochement devant permettre d’épargner de longues distances à parcourir à leur fille, âgée de 7 ans, et à leurs familles. L’enfant n’a pas vu sa mère depuis décembre.

Manifestation pour Lorentxa Guimon
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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 19:50

LORENTXA GUIMON EN GREVE DE LA FAIM DEPUIS LE 2 JANVIER !
Un bus de soutien partira pour la prison de Roanne où est incarcérée en isolement Lorentxa GUIMON :
**ATTENTION CHANGEMENT DE DERNIERE MINUTE DEPART 21H à GARAZI ET 22H BAYONNE!!!!!!!!!!!!!!
- Vendredi 29 janvier:
à 22h** départ Jai Alai à Garazi
à 23h** départ place Saint-André à Baiona.
- Retour prévu samedi 30 janvier à 23h (heure d'arrivée à Baiona),
réservation au 06 35 39 56 41


Baiona Askatu
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24 janvier 2010 7 24 /01 /janvier /2010 20:29

Blog des Peuples en Lutte

Communiqué d'ETA traduit du castillan pour le Blog FPL par FR ( communiqué original en Euskara,disponible en Castillan sur ce lien)


Communiqué de E.T.A à Euskal Herria

 
Dans le communiqué que nous avions rendu public lors du
Gudari Eguna de 2009 nous posions quelques questions à ceux qui sont responsables de l’oppression d'Euskal Herria. Une réponse positive à ces questions pourrait mettre fin au déni de droits qu'aujourd'hui nous vivons et impliquerait d’en finir avec les conséquences du conflit.

Au cours de l'histoire beaucoup de responsables ont répondus de façon irresponsable: la répression, la torture et les arrestations judiciaires et extra-judiciaires, de nouvelles mesures pénales contre les prisonniers et leurs familles ...


Lorsque nous, Basques nous ouvrons la main, ils répondent par la violence quand sont avancés des propositions qui rapprochent plus de la paix que de la guerre. Lorsqu’au cours des siècles, ils ont été incapables de dominer le peuple ils savent qu'ils ne pourront pas le maintenir prisonnier pendant longtemps et ils répondent avec tout ce qu’ils ont à la porté de la main afin que la balance penche de leur côté.

L'état espagnol est l'État qui malgré l'aspect de force n'a pas réussi à se consolider, plein de contradictions partout. Elle est fausse l’image de force qui veut se donner, cette fausse unité entre eux, a créé quelques fondations de sable dans son bâtiment.

Cela peut en surprendre beaucoup que, avec la terrible répression que subit Euskal Herria après avoir eu connaissance de ses attaques qu’ils montrent des chèques en blanc. Ils sont liés aux mensonges et l'arrogance qu'ils affichent.


Ils savent que (le moment) est arrivé et ils se préparent à cela.


Ce n'est pas notre objectif de couler l'État espagnol. Tout ce que nous demandons, c'est que le peuple puisse choisir son avenir librement. Et l'ennemi sait, que si cela arrive, si les peuples qu’il a écrasés retrouvent leur liberté il perdra son sens et son essence. Le compte à rebours a commencé, sa survie est dépassée depuis longtemps.


En avant
la Gauche Nationaliste Basque !

La construction d'Euskal Herria ce n’est pas espérer un conte, attendre de voir quand l'ennemi en fera des miettes en regardant la télévision. Être des Basques cela nous pousse l'action. C’est pourquoi ils n’ont pas réussis à nous dominer jusqu'à présent, nous voulons construire notre avenir et nous ne nous arrêterons pas temps que cette possibilité ne sera pas ouverte.


Le moteur de ce processus est la gauche nationaliste basque et ETA à fait siennes ses réflexions. Nous ne pouvons rester en regardant l'ennemi, il est temps d'avancer et de construire, aussi maintenant. À ce moment, où l’ennemi lance son attaque la plus dure nous ne pouvons pas rester dans la simple résistance. En précisant que nous devons répondre à la répression, qu’il faut lever un mur populaire contre ses nouveaux mouvements, et en assumant l'importance de cela, nous devons répondre à l'initiative qu’ils essaient d’étouffer avec capacité.


Il est vrai que, plutôt que de s'accrocher à la répression, nous avons notre plus grande force dans la lutte politique. Ce peuple veut vivre, et dans la discussion politique les arguments de l'ennemi restent petites devant
la Gauche Nationaliste basque
C'est pourquoi pendant de nombreuses années nous avons fait des pas dans une lutte politique qui a eu différentes manifestations et outils. Pas encore, mais le temps viendra heremos unis contre l'ennemi dans d'autres domaines. Peut-être plus tôt que certains le pense et qui pensent voir les sélections de deux peuples souverains en compétition, et peut-être, seulement peut-être, nous accepterons plus tranquillement la victoire ou l'échec, devenu en sport, quand cela ne met pas en jeu l'existence de l'un ou l'autre

L'initiative est nôtre. La gauche indépendantiste basque est la seule qui  en plus de défendre un projet propose un cadre politique dans lequel peuvent être proposés librement et développer tous les projets. On ne peut pas affronter cela sur le terrain politique. Le projet répressif qui se trouve en face de cette proposition a échoué, il n'a pas réussi à maintenir cette imagination..


Cela saute aux yeux que Euskal Herria n'a pas sa place dans le projet espagnol. La gauche nationaliste basque souvent à dit, isolée, que sous l'Espagne et
la France, Euskal Herria se dirige vers l'extinction. Au fil du temps elle a assumé ce discours. L'échec de l'ennemi est double, si l'on y ajoute son incapacité d'arrêter la gauche nationaliste basque.


Nous devons féliciter la gauche nationaliste basque pour la valeur et le courage qu'elle a montré au cours de ses années. Au-dessus tous les coups, ferme dans le combat, la tête haute, a fondu un poing fermé et la main tendue. Nous avons vu cela à Altsasu la même gauche nationaliste basque massive comme dans ses origines, générations, tendances, et identités, unie dans un travail commun. C’est l’un des secret da la gauche nationaliste basque, vive dans le débat et ferme dans les résolutions.


Ceci est la volonté de travail que nous pouvons offrir a tous, la capacité de travailler autour d'un projet en faisant que chacun garde son identité et sa personnalité. L'ennemi a essayé de casser cela, d'une façon ou d'une autre, le mensonge, la propagation des fuites, créer et à favoriser des «dissidents» ... en vain. Après toutes ces manœuvres la gauche nationaliste basque continue d'être la référence la plus importante du processus de libération basque.

Récemment, nous déclarons une nouvelle analyse, que nous avons faite. La gauche nationaliste basque est aussi plongée dans le débat. En regardant en avant, cette transformation décisive, nous n'avons jamais eu peur de regarder d’une façon critique ce que nous avons fait.


Nous n'avons pas peur d'accepter ce que nous avons manqué, pour enrichir le débat politique, pour illuminer de nouvelles vérités dans cette dialectique. L'autocritique et la lutte ont caractérisé le chemin de la gauche nationaliste basque et la lutte et l’autocritique caractériseront la gauche nationaliste basque dans le futur également.

En avant le Processus Démocratique!

Désormais la gauche nationaliste basque aura le processus démocratique.

Le Processus Démocratique est un processus qui est développé pour démocratiser une situation connue d'oppression juridique.


Il est démocratique, pour reprendre ses objectifs : la discussion, la négociation, l’accord politique et,

finalement, parce qu'il est développé par un mécanisme participatif et démocratique. En d'autres termes, c’est un processus destiné à résoudre le conflit politique en termes démocratiques.


Le Processus démocratique comme un axe d’accord sur la formulation du droit à l'autodétermination, des procédures pour les citoyens prennent la parole


Pour déterminer la façon dont les citoyens prennent la parole, convenir de la formulation du droit d'autodétermination  et respecter la volonté politique du peuple c’est le processus démocratique. C'est un processus pour que soient mis en vigueur les droits civils et politiques d'Euskal Herria comme nation.
Il s'agit d'un processus visant à amener Euskal Herria  à l’étape d’autodétermination de façon graduelle, réglée et déterminée.


Le processus démocratique est un processus pour ouvrir les portes. Ce peuple doit ensuite décider jusqu’ou il décider d’ouvrir les portes. La gauche nationaliste basque sait depuis longtemps que la continuité de ce peuple est liée à l'indépendance. Parvenu à ce point la gauche nationaliste basque peut rivaliser sur un pied d'égalité avec les autres forces politiques et nous n'avons aucun doute que si dans les conditions difficiles dans lesquelles nous sommes nous avons fait de grands progrès dans la discussion politique dans ces conditions nous gagnerons ce débat politique..


En face du Processus Démocratique ils essaieront d'actualiser le cadre autonome - statutaire épuisé, sa réforme et sa mise à jour. Ceux-ci ont réussis à la ruiner et voilà qu'ils veulent laisser pleines de ronces autour de la possibilité de liberté pour notre peuple. Nous devons lutter contre cette possibilité aujourd'hui avec toute la force. Le processus politique est non seulement la meilleure possibilité pour ce Peuple, mais la seule, et nous devons le faire comprendre très vite.


Nous devons comprendre que la meilleur garantie c’est notre peuple. Parce que seulement avec la force de notre peuple nous pouvons atteindre l’objectif, parce qu’il ne peut être conditionné seulement, seulement qu’à la force de notre peuple, seulement avec la participation de notre peuple, il peut s’ouvrir, se construire et être mener à terme.


Le chemin parcouru démontre qu’en lançant une nouvelle étape et à travers les expériences nous devons en tirer deux leçons : S'il n'y a pas de soutien actif du Peuple, s’il reste dans les traces du domaine de la négociation, ce processus va s'arrêter. De même, le processus Démocratique avance sans la participation de l'État. Sa participation au moins devra mettre un terme à l'ingérence qu’il développe sur l'Euskal Herria. Aucune trêve ni cessez-le feu de l'ETA n’existera tant qu’il ne l’apportera pas au processus démocratique.


Le processus démocratique doit être utilisé comme un outil démocratique et il doit se réaliser sans ingérence, et c’est ainsi que nous le voyons, ils doivent arrêter l’ingérence et la violence d'État. Étant donné que l'ennemi n'a jamais eu la volonté de lancer un processus démocratique, comment allons-nous le pousser  et ensuite le maintenir dans cette position ?. L'activation de tout le peuple et la pression nous entraînera au processus démocratique et l'activation du peuple va faire en sorte que le processus soit mené à bien.


En influençant l'agitation et l'activation du Peuple, l'ETA réaffirme les principes fondamentaux de Anoeta. Un Processus démocratique - Donner la parole au peuple,- le processus étant de faire appel à la population, l'activation du Peuple sera la plus grande garantie, le moteur et l'axe.


Pour assouvir les aspirations populaires il faut dépasser les institutions actuelles pour passer à une situation démocratique et on aura besoin de créer des domaines de négociation. la citoyenneté basque devra ratifier les accords. Avec ceci, dans un autre secteur l’ETA et l'État devront aborder dans un autre domaine les conséquences du conflit..


S'organiser et lutter!


En étant dans une situation d'oppression avec les conséquences du Conflit en vue, nous étions à un moment du processus démocratique. Ce temps, et celui qui approche seront caractérisés par la lutte. Avec la lutte que nous créerons les conditions pour le processus démocratique et avec la lutte nous obtiendrons ces conditions qui fleuriront et donneront des fruits. Lors du 50e anniversaire de l'ETA, nous avons voulu rappeler quelques mots de Argala:
"(...) On crie ETA herria zurekin et je ne pense pas que ce cri soit négatif dans la mesure où ce n'est pas à l'ETA de résoudre les problèmes de chacun, qui ne peut pas les résoudre (...) Ni ETA, ni le KAS ou HB ou une autre formation politique aussi puissante soit-elle ne peut résoudre les problèmes du Peuple Travailleur Basque. Seul le Peuple Travailleur Basque peut solutionner ses problèmes. (...)Mais quiconque qui crie ETA herria zurekin, quiconque qui partage les objectifs que défend aujourd'hui KAS, quiconque est d'accord avec la lutte de l'ETA, aucune de ceux-ci ne peut rester en marge de la lutte et ne peut pas rester en marge de l'organisation. Seul un peuple organisé peut atteindre les objectifs auxquels il aspire. Encourageons-le, à s'organiser et à lutter ! ".


Ca ne sera pas
ETA qui allumera la liberté de ce peuple. Ce ne sera pas non plus les autres partis politiques qui le rapprocheront de la liberté. Ca sera le peuple lui-même qui donnera la liberté à Euskal Herria. Nous tenons à le souligner. La victoire se trouve dans la lutte et nous appelons notre peuple, chaque personne à s'organiser et à lutter, à devenir protagoniste de la liberté de notre peuple. Cela vaut la peine de s'impliquer dans cette lutte, aussi difficile que belle, ce peuple le mérite.


Enfin, les derniers mots sont adressés à ceux qui ont tout donné, en particulier pour les camarades qui sont dans les prisons d'extermination qui donnent et qui ont tout donné, pour ceux en exil, pour ceux qui sont tombés sur le chemin.


Ezaren gudaz baietza sortuz… lortuko dugu!

 Gora Euskal Herria Askatuta! Gora Euskal Herria Sozialista!

Jo ta ke independentzia eta sozialismoa lortu arte!

Euskal Herrian,

2009ko abenduak 31

Euskadi Ta Askatasuna


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24 janvier 2010 7 24 /01 /janvier /2010 19:55

Corsica - Euskal Herria

Libertà - Askatasuna !



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DOSSIER PALESTINE (conflit de juillet 2014) :
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Le sionisme, "fils de France"
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Deux clarifications importantes
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Considérations diverses : une mise au point nécessaire sur nos positions internationalistes et aux côtés des Peuples

juin 2014

POSITION DES COMMUNISTES RÉVOLUTIONNAIRES DE LIBÉRATION OCCITANE SUR LES ÉLECTIONS MUNICIPALES ET EUROPÉENNES DES PROCHAINS MOIS

L'affaire Dieudonné-Valls :
Plutôt bon article sur la ‘Déclaration de guerre de la République à Dieudonné’ (la pseudo-controverse réactionnaire entre l’antisémite dégénéré et les gardiens du temple républicain)
Quelques mises au point complémentaires (et conclusives) sur la ‘‘question Dieudonné’’ (et Dreyfus, le Front populaire, l’antisémitisme etc.)
Réflexion théorique : loi Gayssot, lois antiracistes et "mémorielles", "antifascisme" bourgeois etc., quelle position pour les communistes ?

Dossier Breizh :
Breizh : comment l'étincelle écotaxe a mis le feu à la lande
"Esclave", "identitaire", chouan, cul-terreux arriéré de service : pour paraphraser Césaire, "n'allez pas le répéter, mais le Breton il vous EMMERDE"
Considérations diverses – en guise de ‘‘petit debriefing’’ de ces derniers mois : Bretagne, fascisme, ‘‘Lumières’’ et Kaypakkaya… (point 1)
Considérations diverse (26/11/2013) : eh oui, Servir le Peuple a toujours quelques petites choses à vous dire ;-) (point 1)
Appel de la gauche indépendantiste bretonne (Breizhistance) pour le 30 novembre (avec notre critique de la position du ROCML)
Le Top Five des drapeaux qui n'ont PAS été inventés par un druide nazi  (mortel !)
Et en guise (provisoire) de conclusion : La Gauche indépendantiste bretonne revient sur la mobilisation de Karaez/Carhaix

Comité de Construction du PCR des Terres d'Òc : Déclaration du 11 Novembre

La phrase du moment :

"La tyrannie cessera parmi mon peuple ; il n'y aura que liberté, liberté toute nue, sans déguisement. Bouleversements d’États entiers : je les renverserai de fond en comble, il n'y aura rien de reste. Il va y avoir de terribles renversements de conditions, de charges et de toutes choses. Je veux faire un monde nouveau, je veux tout détruire. Je veux appeler à moi la faiblesse, je veux la rendre forte. Pleurez gens du monde, pleurez grands de la terre, vos puissances vont tomber. Rois du monde, vos couronnes sont abattues !"

Élie Marion, "prophète" et guérillero camisard cévenol, 1706.

Amb l'anma d'un Camisart, Pòble trabalhaire d'Occitània endavant !

 

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Guerre pop' - Asie du Sud :

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Comité de Soutien à la Révolution en Inde

Comité de solidarité franco-népalais

Fil d'actu "Inde - Népal" du Secours Rouge - APAPC

J. Adarshini (excellent site en français)

Revolution in South Asia (en anglais)

Maoist Resistance (guérilla maoïste indienne - en anglais)

NaxalRevolution (Naxalite Maoist India, en anglais)

Banned Thought (en anglais)

Indian Vanguard (en anglais)

The Next Front (Népal - anglais)

Signalfire (sur la GPP en Inde et aux Philippines, le Népal et les luttes populaires dans le monde - en anglais)

Communist Party of India (Marxist-Leninist) Naxalbari (a fusionné avec le PC d'Inde maoïste le 1er mai 2014)

New Marxist Study Group (maoïste, Sri Lanka)

Parti communiste maoïste de Manipur (page Facebook)

 

Guerre pop' - Philippines :

Philippine Revolution (en anglais)

The PRWC Blogs

(tous deux remplacés apparemment par ce site CPP.ph avec notamment les archives d'Ang Bayan, l'organe officiel du Parti)

Solidarité Philippines

Fil d'actu "Philippines" du Secours Rouge - APAPC

 

Guerre pop' & Luttes armées - Amérique latine :

CEDEMA - actualité des mouvements armés en Amérique latine (+ qqs documents historiques)

 

Nuevo Peru (Pérou, basé en Allemagne, en castillan et allemand principalement)

Guardias Rojos (Pérou, page FB)

Fil d'actu "Amérique latine" du Secours Rouge - APAPC

Archives

Autres documents théoriques

 

Récapitulatif des "grandes thèses" de Servir le Peuple


À lire également, les Considérations Diverses, petits "billets" trop courts pour faire un article et donc regroupés par trois, quatre ou plus, exprimant notre CONCEPTION DU MONDE sur toute sorte de sujets. 


Même étude sur l'État espagnol (1 et 2) ; le Royaume-Uni (1 et 2) et l'Italie.

 

APRÈS 8 SÈGLES… (Huitième centenaire de la bataille de Muret 1213 & DÉCLARATION FONDATRICE de notre Comité de Construction du PCR-Òc)

 

 






 

 

 


 


 

 

Le 'centre mlm' de Belgique, la Guerre populaire et le (n)PCI (sur la stratégie révolutionnaire en pays impérialiste) ; et dans la continuité :

Gramsci et la théorie de la Guerre populaire en pays capitaliste très avancé (1ère partie)

et Gramsci et la théorie de la Guerre populaire en pays capitaliste très avancé (2e partie)

 

 

 

EXCLUSIF : Lotta Continua - "Prenons la Ville !" (1970) [avec un salut rouge et fraternel à l'AA Bordeaux ]

Manifeste Programme du (n)PCI

Présentation

du chap. 1 du Manifeste pour les lecteurs/trices francophones (valable pour tout le Manifeste)

 

(Chapitre I): PDF - WORD

 

 

 MANIFESTE COMPLET

(version non-définitive ; chap. 4 et 5 pas encore validés par les camarades italiens)

 

IMPORTANT pour la compréhension du Manifeste :

La crise actuelle, une crise par surproduction absolue de capital (en PDF)

article de 1985 paru dans Rapporti Sociali n°0

[en bas de la page en lien, icône
PDF - Télécharger le fichier pour télécharger le document]

Autres analyses d'actualité









Situation décisive au Népal 

En matière de conclusion sur la situation au Népal, et ses répercussions dans le Mouvement communiste international 

Questions-réponses sur la situation au Népal

 

Discussion sur la "gauche" en Amérique latine et la bourgeoisie bureaucratique

 

Sur la liquidation réformiste en Euskal Herria : l'analyse d'un communiste abertzale

Sur la liquidation réformiste en Euskal Herria, 2e partie

Sur la liquidation réformiste en Euskal Herria, 3e et dernière partie  

 

 

 

 


Considérations diverses 03-2013 - et un peu de polémique/critique, ça fait pas de mal ! (sur Chavez, le 'bolivarisme', le 'fascisme' de celui-ci et autres choses...)

Autres articles historiques

 

25 avril 1945 : le Peuple italien terrasse le fascisme

 

 


 




Et en guise de récapitulatif/synthèse : Considérations diverses sur les États, les Nationalités, la Subsidiarité et le Pouvoir populaire ; ici (point 1) : Considérations diverses – fin octobre 2013 : État et révolution bourgeoise et ici : Considérations diverses : 1/ Le cœur des nations est aujourd’hui le Peuple